Fécondation Naturelle

BÊTA PUBLIQUE

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Valcour
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- Comment l'appellerons-nous?

Ce "nous" m'inquiète. Vais-je me retrouver avec une gamine sur les bras? Sans exclure l'hypothèse où naîtrait un garçon dont les deux folles ne voudraient pas et qu'elles me laisseraient en tant que père. Quelle idée avais-je eu de lui raconter que j'aimais les enfants!

- N'avez vous pas décidé cela avec ton amie?

- Elle a choisi Amélie, mais moi, je n'aime pas. Puisque tu seras le père, tu as le droit de décider de son nom.

- Que penses-tu de "Corinne"?

- Oui, c'est très bien "Corinne". J'ai une cousine que j'aime bien qui s'appelle comme cela. Cela lui fera plaisir.

En ce qui me concerne, c'est à l'assistante de Vanessa, que je pense, commettant ainsi une manière d'inceste symbolique et rétroactif.

Nous nous quittons en amants, Sarah a perdu son mutisme, mais je ne cherche pas à prolonger l'entretien car j'ai peur qu'elle ne formule des projets où je serais associé. Quant à l'anonymat soi-disant garanti par l'Institut, il avait été levé du fait des rencontres chez moi.

Epilogue. Corinne.

Plusieurs mois ont passé, riches pour moi d'aventures. J'avais appris par l'Institut que la fécondation avait réussi et qu'une fille était en route.

On sonne. C'est Sarah, précédée d'un gros ventre ballonné qui lui fait monter plus haut qu'à mi-cuisses une robe de grossesse trop petite. On dirait une fille-mère.

- Regarde, c'est notre Corinne.

Ses traits sont fatigués, son teint pâle contraste avec ses cheveux noirs et ses grands yeux bleus. Son regard n'en est que plus vif et plus perçant, mais il surmonte la fatigue, éclatant d'enthousiasme. Elle s'assied sur le canapé, me tire à elle, remonte sa robe s'empare de ma main pour me faire sentir les mouvements du petit être qu'elle abrite.

- Elle est vive. Une grande amoureuse. Comme son père.

- C'est bien une fille?

- Oui, l'échographie l'a confirmé, mais moi je le sais depuis le début. Cela fait 8 mois et 5 jours.

Elle se déshabille complètement, toute fière de la peau distendue de son ventre, de ses seins déjà gonflés dont les aréoles avant grandi.

Je déteste les femmes enceintes. Elles ne parlent que de leurs ventres qu'elles regardent béatement, comme si le monde entier se mettait subitement à tourner autour d'elles. Elles ont des malaises, des fantaisies, des dégoûts incompréhensibles, et sont le plus souvent perdues pour la bagatelle. Mais Sarah, avec sa joie communicative et son enthousiasme juvénile m'émeut profondément, même si je suis anxieux pour cette fille à naître à l'idée du monde vulgaire, violent et pollué dans lequel j'ai contribué à la jeter.

- Tu me fais l'amour? Corinne en profitera.

C'est la première fois que je baise une femme enceinte. Ce n'est pas très commode. Son gros ventre gêne l'étreinte, mais pas les caresses. Je la prends en levrette. Elle est toujours aussi étroite mais plus pour longtemps. J'y vais doucement, de peur que son plaisir ne déclenche les premières contractions.

- Plus fort, n'aie pas peur.

Le long gémissement de plaisir que je lui connais accompagne son orgasme.

Quelques instants plus tard, ma tête est posée sur son épaule et tout en caressant ses gros seins dont j'aimerais bien goûter le lait, je lui pose une question qui m'intrigue.

- Et ton amie, est-elle heureuse?

- Elle m'a jetée dehors de chez elle. Elle n'a pas supporté que j'ai pris du plaisir avec toi. Et puis, grâce à toi j'ai découvert comme c'est bon l'amour avec un homme.

Je pressentais la suite :

- Si on se mariait. Il lui faut un papa à notre petite Corinne. Tu pourras lui donner son bain avec tes grandes mains caressantes.

- Laisse-moi réfléchir.

Pour m'aider dans ma réflexion, elle se fait chatte tout contre moi, pose sur mes cuisses son gros ventre où Corinne est encore bien douillettement installée et m'embrasse à pleines lèvres. C'est tout réfléchi. Il m'est impossible de dire non.

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ValcourValcouril y a presque 18 ansAuteur
Information : Un concours de nouvelles érotiques

La revue en ligne

http://www.lavenuslitteraire.com/

organise un concours de nouvelles érotiques.

Un texte publié sur internet est recevable si il n'a pas rapporté d'argent à son auteur, et si l'auteur en a la propriété intellectuelle (le copyright).

Si ce texte est retenu, l'auteur devra le mentionner sur le serveur.

J'y ai proposé cette nouvelle.

Alain Valcour

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